Ils sont vraiment pires que les plus grands gangsters du monde. Eux ils ont un métier : escroquerie et blanchiment d'argent sale. Ici ce sont des hauts fonctionnaires et Ministre plus banquiers véreux.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
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Honnêtement, il est grand temps de traiter avec dignité le peuple sénégalais, pris pour des objets par un président incompétent qui ne sert que les intérêts de son premier ministre indifférent au sort du peuple, en recourant à la manipulation. À partir de quand la publication de la cour des comptes était-elle prévue ? À combien de reprises les mensonges du Premier ministre ont-ils été signalés et pour quelle raison le ministre des Finances n'ose plus les contredire ? C'est regrettable que le précieux Sénégal soit gouverné par de véritables prédateurs.
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Vraiment, ça fait mal au cœur, comment on peut autant détester son pays, je comprends pas comment peut on soutenir macky sall, j'ai pas les mots. Ils osent insulter et diaboliser sonko et continuent toujours à le faire. Bayilène farr, soyez du côté de la vérité. Moi en tout cas, je suis derrière sonko jusqu'au jour où je verrai quelque chose pas à l'avantage de mon pays.
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C’est comme si on nous rapporte la réaction de Benyamin Netanyahou à son inculpation pour crimes contre l’humanité par la Cour Pénale Internationale, ça n’a aucune valeur de nous ramener la réaction de Pape Malick Ndour qui fait lui-même partie des KULUNAS ApéRIEN+Bénno-piller-Rewmi !!!
Je me sens très très mal. Le niveau de prédation est d’une intensité au delà de tout ce que j’avais pu imaginer ! Si Charlie Sall avait réussi son coup d’état constitutionnel le sénégalais aurait été vendu en esclavage comme à l’époque de Pinet)Laprade !!! Si Amadou Ba avait réussi à inventer un second tour ils auraient continué le pillage et à cette étape là c’était obligé qu’ils en finissent avec les pastef, sonko allait être liquidé sans aucune hésitation. C’était obligé
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Sonko a mis le pays sens dessous dessu pour une histoire de fesse, c'est ton affaire si tu le crois. En tout cas, il faut nous payer nos salaire à la fin du mois. Aucun argument ne sera accepté. Le régime sortant ont fait du faux ou je ne sais quoi, le fonctionnement de l'Etat n'a souffert d'aucun manquement quand il était là. Wa Salam
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Sonko a mis le pays sens dessous dessu pour une histoire de fesse, c'est ton affaire si tu le crois. En tout cas, il faut nous payer nos salaire à la fin du mois. Aucun argument ne sera accepté. Le régime sortant ont fait du faux ou je ne sais quoi, le fonctionnement de l'Etat n'a souffert d'aucun manquement quand il était là. Wa Salam
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Vous allez être surpris quand macky sall, le Fmi et le cbeao porteront plainte le gouvernement de Sonko et son gouvernement. Cette histoire va faire des dégâts incroyables pour le Sénégal tout ça grâce à la folie populiste d'un vaurien
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Sénégal
Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire
12 février 2025
Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux.
Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif.
L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent
Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures.
Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande.
Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner
Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise.
Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
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Cour des comptes tay la gueum né dou Dara. Il faut pas essayer de sacraliser les agents de cette institution, gueunou niou diangue nit gni geunou niou Dioup kéneu, d’ailleurs yagueu naniou bindeu louniou contester pour gnikoy suivre. Séne rapport bi ça sent la complaisance pour un homme politique ridicule et qui risque de foutre en l’air ce pays
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Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu'au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l'extradition de tous les fossoyeurs aujourd'hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d'accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrent.
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Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux.
Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif.
L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent
Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures.
Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande.
Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner
Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise.
Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
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Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire
12 février 2025
Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux.
Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif.
L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent
Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures.
Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande.
Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner
Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise.
Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
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12 février 2025
Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
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Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
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Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
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Je préfère pour ceux qui accepter de rembourser l'argent qui appartient au peuple sénégalais plus un intérêt de 6 % pour chaque année de détention de ces argents que la case prison ne soit pas de mise. Une condamnation avec sursis suffirait. Le plus important est de récupérer l'argent liquide et si nécessaire confisquer leurs biens à hauteur des montants en cause.
Le Burkina a récemment récupéré pour l'instant plus de 200 milliards, ici au Sénégal cela commence discrètement le remboursement cependant il faut appliquer un intérêt de 6% par année de détention des sous.
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La cours des comptes a tranché et la verité est dehors ....................wa APR fermez vos putain de gue....ceci n'est que la confirmation de ce tout les 54% de senegalais qui ont voté pour Diomay savait dejà .
Vous etes de vrai domerammmmm............................que DIEU vous maudit
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Comments
Ils sont vraiment pires que les plus grands gangsters du monde. Eux ils ont un métier : escroquerie et blanchiment d'argent sale. Ici ce sont des hauts fonctionnaires et Ministre plus banquiers véreux.
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Pape Malick amna loumou wakh
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Honnêtement, il est grand temps de traiter avec dignité le peuple sénégalais, pris pour des objets par un président incompétent qui ne sert que les intérêts de son premier ministre indifférent au sort du peuple, en recourant à la manipulation. À partir de quand la publication de la cour des comptes était-elle prévue ? À combien de reprises les mensonges du Premier ministre ont-ils été signalés et pour quelle raison le ministre des Finances n'ose plus les contredire ? C'est regrettable que le précieux Sénégal soit gouverné par de véritables prédateurs.
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Vraiment, ça fait mal au cœur, comment on peut autant détester son pays, je comprends pas comment peut on soutenir macky sall, j'ai pas les mots. Ils osent insulter et diaboliser sonko et continuent toujours à le faire. Bayilène farr, soyez du côté de la vérité. Moi en tout cas, je suis derrière sonko jusqu'au jour où je verrai quelque chose pas à l'avantage de mon pays.
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C’est comme si on nous rapporte la réaction de Benyamin Netanyahou à son inculpation pour crimes contre l’humanité par la Cour Pénale Internationale, ça n’a aucune valeur de nous ramener la réaction de Pape Malick Ndour qui fait lui-même partie des KULUNAS ApéRIEN+Bénno-piller-Rewmi !!! Je me sens très très mal. Le niveau de prédation est d’une intensité au delà de tout ce que j’avais pu imaginer ! Si Charlie Sall avait réussi son coup d’état constitutionnel le sénégalais aurait été vendu en esclavage comme à l’époque de Pinet)Laprade !!! Si Amadou Ba avait réussi à inventer un second tour ils auraient continué le pillage et à cette étape là c’était obligé qu’ils en finissent avec les pastef, sonko allait être liquidé sans aucune hésitation. C’était obligé
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Sonko nous a toujours menti et il continuera à nous mentir jusque dans sa tombe nos condoléances par anticipation wa pastef !!!
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Sonko a mis le pays sens dessous dessu pour une histoire de fesse, c'est ton affaire si tu le crois. En tout cas, il faut nous payer nos salaire à la fin du mois. Aucun argument ne sera accepté. Le régime sortant ont fait du faux ou je ne sais quoi, le fonctionnement de l'Etat n'a souffert d'aucun manquement quand il était là. Wa Salam
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Sonko a mis le pays sens dessous dessu pour une histoire de fesse, c'est ton affaire si tu le crois. En tout cas, il faut nous payer nos salaire à la fin du mois. Aucun argument ne sera accepté. Le régime sortant ont fait du faux ou je ne sais quoi, le fonctionnement de l'Etat n'a souffert d'aucun manquement quand il était là. Wa Salam
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Vous allez être surpris quand macky sall, le Fmi et le cbeao porteront plainte le gouvernement de Sonko et son gouvernement. Cette histoire va faire des dégâts incroyables pour le Sénégal tout ça grâce à la folie populiste d'un vaurien
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Geum nani le petit diogoye va faire 5 ans sans inaugurer un petit pont qu il a financer
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A ce rythme kher sakh dolen ko tek
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Accueil Afrique Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière... Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire 12 février 2025 Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité. Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs. Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI. Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales. Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points : Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État. Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux. Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif. L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures. Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés. En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande. Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise. Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir. Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays. Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre. Sonko, ou l’art du populisme destructeur La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays. Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent. Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. 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Yaw tu es le Khalif général des menteurs du net, tu es un DOULternaute APRIME !
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Yène wa apr beuss bolène di poup ndèrete bou nioul koukeu. Boumou lène bèteu. Liguène sathie yalla boumou rèss . Amine
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Cour des comptes tay la gueum né dou Dara. Il faut pas essayer de sacraliser les agents de cette institution, gueunou niou diangue nit gni geunou niou Dioup kéneu, d’ailleurs yagueu naniou bindeu louniou contester pour gnikoy suivre. Séne rapport bi ça sent la complaisance pour un homme politique ridicule et qui risque de foutre en l’air ce pays
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Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence. Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République: Les 6 priorités majeures Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu'au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019 Loi pour demander l'extradition de tous les fossoyeurs aujourd'hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d'accueil Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrent.
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Afrique confidentiellle Accueil Afrique Sénégal Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire 12 février 2025 Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité. Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs. Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI. Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales. Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points : Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État. Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux. Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif. L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures. Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés. En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. 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En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
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Afrique confidentiellle Accueil Afrique Sénégal Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire 12 février 2025 Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité. Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs. Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI. Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales. Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points : Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État. Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux. Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif. L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures. Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés. En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. 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Sonko, ou l’art du populisme destructeur La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays. Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent. Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles. En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Afrique confidentiellle Accueil Afrique Sénégal Sénégal Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire 12 février 2025 Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité. Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs. Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI. Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales. Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points : Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État. Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux. Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif. L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures. Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés. En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande. Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise. Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir. Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays. Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre. Sonko, ou l’art du populisme destructeur La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays. Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent. Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles. En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Finies les inaugurations d'infrastructures surfacturées par un président voleur de nos deniers publics!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il se fout de qui ce Pape Ndour.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Je préfère pour ceux qui accepter de rembourser l'argent qui appartient au peuple sénégalais plus un intérêt de 6 % pour chaque année de détention de ces argents que la case prison ne soit pas de mise. Une condamnation avec sursis suffirait. Le plus important est de récupérer l'argent liquide et si nécessaire confisquer leurs biens à hauteur des montants en cause. Le Burkina a récemment récupéré pour l'instant plus de 200 milliards, ici au Sénégal cela commence discrètement le remboursement cependant il faut appliquer un intérêt de 6% par année de détention des sous.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La cours des comptes a tranché et la verité est dehors ....................wa APR fermez vos putain de gue....ceci n'est que la confirmation de ce tout les 54% de senegalais qui ont voté pour Diomay savait dejà . Vous etes de vrai domerammmmm............................que DIEU vous maudit
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